The Legend of Zelda - A Link Between Worlds

Après The Wind Waker, je retrouve Link dans A Link Between Worlds pour de nouvelles aventures dans le monde merveilleux d'Hyrule.
Premier petit plaisir avec la boîte de jeux, la jaquette est réversible, un côté doré brillant et un côté coloré vert.

Avec un petit bonus de précommande un coffret au trésor pour ranger ses cartouche de DS, et il fait le son de l’obtention d'item. Point super positif c’est qu’il y a un bouton on/off pour éviter que Monsieur vide complètement les piles en l’ouvrant toute la soirée. (NB, c'est surper fun pourtant !)

On retrouve toujours la même sauce magique, Link est trop mignon dans sa tenue verte de lutin, il doit sauver Hyrule, les objets et armes traditionnelles : arc, boomerang, grappin, bombes, ... Ce qui apporte de la nouveauté à ce jeu est le fait que Link peut se déplacer sur les murs en se transformant en dessin.

Bon, entrons dans le vif du sujet, quand tu lances le jeu, déjà il te propose de te nommer Link (Hallelujah !), mais moi j'aime bien renommer mes personnages, j'aime bien quand le héros porte mon nom comme ça j'ai un peu l'impression que c'est moi qui sauve le monde.

 

Tu commences t'es en train de rêver et tu te fais réveiller par Guly (Guly, le fils du forgeron est venu me chercher (désolée pour cette référence musicale pourrav')) qui te traite de feignasse (Ils ont bien cerné ma personnalité dis donc !), ce même Guly t'apprends que pour sauvegarder il faut que tu salues une girouette (Je ne sais pas ce qu'ils fument en Hyrule, mais c'est assez violent quand même).

Donc tu dois aller voir le papa de Guly le forgeron, et là tu découvre un idiot le capitaine de la garde venu chercher un bouclier et qui repart sans son épée. Bien sur c’est bibi qui doit se charger de lui rapporter au Château. Mais quand tu arrives au Château tu découvres que le Capitaine a fait un petit détour pour aller voir sa maîtresse sa sœur au sanctuaire, au passage on découvre que le château est tagué par de étranges dessins, mais on s’en fou, on est à la recherche du Capitaine ...
Pour compliquer les choses (rien n’est jamais simple dans les Zelda, tu crois toujours que tu va y arriver et PAF surprise) quand tu arrive au sanctuaire, ça crie et la porte se claque (foutu courant d’air) et se bloque (foutue porte blindée). Heureusement que Igor est là pour te dire qu’il y a un passage dans le cimetière pour essayer d’aller voir ce qu’il se passe, mais attention c'est infesté de monstres (houuuhouuuu). Alors du coup pour les combattre ces vilains monstres tu empruntes l’épée du Capitaine.

T'arrive dans un endroit super sombre (c'est dans une tombe en même temps) mais heureusement il y a quelqu’un qui a caché une lanterne dans un coffre (ouf !). Et là y'a des rats, ou des hamsters, je n'ai pas trop réussi à déterminer de quelle race ils sont exactement.
Après avoir massacré deux fantômes (j'aime pas les fantômes ça me fait peur), on sort enfin de cet endroit lugubre et on se retrouve dans le sanctuaire.

On se retrouve face à Yuga, grosse vilaine (toute moche) qui est là pour voler la beauté des gens (il lui en faudra un paquet vu comment elle est laide !). On découvre alors que la personne est mise dans un tableau et apparaît désormais en dessin.

Link est un brave et va donc essayer de l'attaquée avec son épée, mais bon on n'attaque pas le grand méchant comme ça (et puis aussi sinon le jeu serait déjà fini), on se fait ridiculiser et en plus on se fait insulter de moche (la vengeance sera terrible !).

Bref, après ce merveilleux passage tu te retrouve chez toi avec un nouvel ami louche avec un costume de lapin (je suppose qu'il est éleveur Pokémon au vu de son familier) qui te demande de le loger et qu'il t'indique d'aller voir la Princesse Zelda, au passage il t'offre un bracelet qui fouette grave.

Tu vas voir la Princesse Zelda, tu lui explique ce que tu as vu, et comme elle sait que c'est toi qui va sauver le monde (comme d'hab hein), elle t'offre une amulette.

Voilà pour la découverte du jeu, mais Hyrule a encore besoin de moi. Je m'en vais donc partir aux toilettes avec ma console sauver le monde.